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Melle Parker a écrit:

Surtout les frasques de Yvonnes à l'insu de sa famille, oui ça peut être torride. Elle se serait toujours comportée comme une sainte et à sa mort sa famille se rend compte que c'était une grosse cochonne ! héhéhé.

Oui, Bloulou, le film m'interpellait car la bande annonce était alléchante mais je ne vais jamais au cinéma, donc j'ai acheté le livre. Je n'ai pas été déçue du tout, mais il n'y a pas de quoi s'extasier. C'est bien écrit, sans plus. Ca ne remue pas les tripes. Pour cela il aurait fallu qu'on s'attache aux personnages, qu'on vive leurs émotions avec eux, mais comme c'est le fils qui raconte sans passion, il manque une dimension (qu'il y a peut-être dans le film)
Ce qui m'interpelle toujours c'est comment des livres reçoivent des prix alors qu'ils n'ont rien de particuliers. Mais je vous rassure : j'ai vu la liste des nouveaux prix littéraires : quasi que des journalistes qui les ont obtenus pour des livres bien hermétiques et peu délassants.

Qui se souvient de "la leçon de piano" ou de "la route de Madison" ? Ca c'était des films qui prenaient aux tripes. même les livres.

J'ai surtout adoré "sur la route de Madison", un peu moins la leçon de piano, mais le film qui m'a le plus marqué ces dernières années reste : "le patient anglais"...

Oui pas mal. En fait on aime les belles histoires sublimées et quand elles n'ont pas de scènes de sexe on est encore plus accrochées.
Sinon, pour parler d'un vieux film qui m'a bcp touché et dans le style sentiments non exprimés je citerai "le silence de la mer" La fille qui est attirée par l'officier anglais mais qui sait que ce serait mal et qui le laisse partir sans jamais avior céder. De vraies valeurs. hahaha.

AH OUI !!! super beau "le silence de la mer", magnifique ! et il n'y a presque pas de paroles, tout est dans les regards... d'où le titre. Mais pourquoi de la mère ? ça ne se passe pas à la mer, mince alors ?

Tu es cruche ou quoi ? Rires. Ca se passait près de la MER oui pas de sa mère !

ha ha ha ha ! j'ai fait un lapsus, c'est marrant.

Remarque, la fille n'avait pas de mère, ça expliquerait aussi .... hé hé

Moi je me souviens de "la leçon de piano" et de "la route de madison". Pas lu les livre, mais vu les films; suis une mordue du grand écran. Pas possible de les oublier. Tiens, Melle Parker, moi aussi je bavais de jalousie devant les rentrées littéraires dans les librairies, devant les prix machins et je me suis aussi demandée comment tel auteur pouvait obtenir un prix pour certaines oeuvres soporifiques...Mais bon, on n'est pas dans le secret des Dieux !
Lance-toi, petite Momie et lis quand même quelques bouquins contemporains. Il y en a plein de super rien que parmi les auteurs du forum. N'attends pas qu'on disparaisse de ce monde pour nous découvrir, ce serait trop triste.
Ce que je lis en ce moment ? Un livre d'une de mes copines auteure-comédienne suisse, Claude-Inga Barbey. C'est un roman tiré de sa dernière expérience amoureuse de femme. Son homme, beau, charmant, charismatique, 10 ans de moins, l'a quittée, paf d'un coup, après lui avoir fait un enfant. Banal, direz-vous, mais le style est beau, incisif, il y a de l'humour et elle fait un parallèle avec "L'Odyssée" d'Ulysse. Elle se met dans la peau de Pénélope.
Voili, voilou. Bonne nuit

En fait, je n'éprouve pas de la jalousie (pour cela il faudrait que je sois en compétition et que je voie les prix me passer sous le nez, ce qui n'est pas le cas) mais de l'incompréhension surtout. Une petite histoire sympa et bien écrite, même si elle ne casse pas trois pattes à un cananrd et qui gagne un prix, ça ne me dérange pas, mais je me pose des questions, c'est tout. Cette année, le goncourt (moi aussi petit g) des jeuens est allé au "rapport Broderick", encore un récit sur les juifs. A la fin, je me demande s'il faut écrire sur la judéité pour être lu ou récompensé. Chaque fois qu'il livre parle de la shoah, des juifs, des camps, etc., il est porté au pinacle ! Et si on a un nom juif c'est aussi bien. Enfin, c'est mon point de vue, je ne sais pas si vous avez remarquez cela aussi.

Quand on parle du loup..... Je viens de voir qu'on programme "le silence de la mer" demain soir sur antenne 2. Pour qui cela intéresse...

Merci du renseignement Miss Parker, je ne connais pas ce film, je vais le regarder. Par contre, "Sur la route de Madison"... yeahhhh, j'adore (suis fan de clint). Un des rares films que je peux regarder plusieurs fois sans m'en lasser. Il y a une scène qui me fait craquer : quand Robert jette le bouquet de fleurs destiné à Francesca parce qu'elle lui dit qu'elles sont empoisonnées. J'adore l'éclat de rire de Meryl Steep dans cette scène. Elle joue d'ailleurs tout le rôle à merveille, avec beaucoup de sensibilité.

Pour le moment je lis beaucoup. (Il fait moche dehors, ce sont les congés et les programmes télés sont nazes).
Donc, je passe d'un livre à l'autre en mélangeant les genres.
Après une équipée dans des histoires se passant en Inde (3 livres) j'ai entamé "Roman Nègre" de Dan Franck cet auteur qui avoue être le nègre de nombreuses "célébrités" et qui est spécialisé en biographies, ce qui ne l'empêche pas d'écrire sous son nom depuis près de 30 ans. Bon, moi c'est la première fois que j'en entendais parler.
Et bien, je suis heureuse de ne pas avoir acheté ce bouquin au prix plein. (Et je comprends aussi pourquoi le précédent acheteur a calé à la moitié du livre)
En effet, ma bibliophagie me force à acheter des livres sur E-Bay (et parfois ça vaut mieux car j'ai moins de remords à les abandonner en cours de route ou à lire une page sur deux).
J'ai entamé cet ouvrage avec enthousiasme mais celui-ci a vite été freiné en cours de route.
L'auteur décrit l'envers du décor de l'écriture du livre sur Zidane. Autour, il se noie dans des digressions et mélange les histoires différentes et un nombre de personnages qui frôlent l'indigestion. (Ces romanciers doivent toujours rajouter une histoire de cul qui ne mène nulle part avec une jolie poulette plus jeune qu'eux, allez savoir pourquoi !)
Tout à coup je pense à Marc Levy.
Est-ce que Dan Brown heu, Franck, veut écrire comme Levy, écrit-il pour Lévy, bref, il m'ennuie tout autant avec son écriture insipide et pédante.
Et cette façon de citer des marques pour nommer un objet. On retrouve beaucoup cela dans les romans américains à croire que les auteurs sont sponsorisés par des marques de vêtements, de wisky ou de chaussures et surtout de café.
L'auteur est le type même du faux gauchiste parisien célibataire qui utilise les ficelles de la consommation pour plaire au plus grand nombre. A moins qu'il copie le genre à la mode dans le monde littéraire parisien : l'uniformité.
Il fait croire que, tourne autour du pot, mêle ses difficultés d'écrivain à pondre son propre roman (avec ces gens là c'est toujours l'affaire d'une vie !) et nous détaille une bordure de trottoir et une porte cochère aussi bien que Levy. Enfin, il se croit poète en nommant les protagonistes par le nom de leur parfum.
Pénible.
Je vais essayer d'aller jusqu'au bout (312 pages) pour voir si cela s'arrange en cours de route (j'en suis à la 192ème) et si je vais reviser mon jugement.
Bon j'aurai appris que quasi toutes les personnalités des médias (chanteurs, acteurs, sportifs) n'écrivent pas leur livre eux-mêmes, mais qui s'en doutait ?
J'ai aussi acheté "petits crimes conjugaux" de E E Schmitt et les "consolantes" de Gavalda et je m'attends à tout. Surtout à bailler, mais bon, on ne pourra pas dire que je ne fais pas d'efforts pour me CULTIVER.

Bon, si vous trouvez que je critique trop, je vais faire la liste des livres que j'ai bien aimé, mais pour moi, un bon livre c'est "une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire", comme disait jean Gabain. Pas du malaxage de nombril ou de la masturbation mentale.

tu vois, tu peux lire tokyo, c'est violent, mais pas insipide.

Je l'ai vu en poche au Carrefour. Ca ne m'a pas tenté du tout !

Bon j'ai terminé le Dan Franck.

Si je vous dis que je n'ai pas compris grand chose à l'intérêt de ce bouquin vous vous en douterez.

Le mec s'est fait plaisir et ça saute du coq à l'âne du début à la fin. De l'autosatisfaction. Raconter qu'il a écrit le livre de Zidane est anecdotique pour placer sa prose.
Seules sont intéressantes les infos sur les pratiques de la "négritude" (et encore, que pour les auteurs comme nous qui pouvons apprécier et comprendre l'envers du décor).

Sinon, livre qui ne sert à rien et qui ne vaut pas ses 18.90 euros. Merci Grasset.

Et je me demande si le temps est exact dans cette phrase :

"Moi et monsieur Museau signeraient ensemble le livre..."

Ce ne serait pas "signerions" ou "signerons"?

Si vous lisez des nouveautés qu'il faut éviter d'acheter, n'hésitez-pas à les commentez ici !

tu as raison de critiquer, on nous propose de la m..

ben oui, c'est vrai quoi !

En fait, j'ai remarqué que pour avoir du succès en France (comme auteur français) il faut écrire comme si on s'emm. dais et qu'on suait sang et eau pour produire sa prose.
Il ne faut pas mettre d'énergie dans sa plume, écrire de manière ampoulée ou politiquement correct.
Installer des personnages et les décrire comme si on assistait à un défilé de mode.
Survoler les personnages et planter les décors.
Faire de la page.
Ne pas oublier de citer des stations de métro, des rues, la forme d'un lampadaire, d'un arbre, etc.
Nommer les objets usuels par une marque.
Un imperméable = un Burberry.
des chaussures = des Jimmy choo
une montre = une rolex
un sac = un Vuiton
du wisky = du JB
du vin : une marque de vin
etc (et je ne cite pas des exemples américains car c'est pire encore !

A croire que les éditeurs sont sponsorisés par les Labels comme les courses cyclistes et les matchs de foot !

ce n'est pas impossible ça ! en attendant, la littérature est égratignée, on fait du purement commercial. C'st bien dommage ! et puis, on n'a plus envie d'acheter des livres, on est trop souvent déçus. avant, je trouvais tous les livres intéressants, je suis de plus en plus déçus, sauf par les vôtres... gardez votre fraîcheur !

C'est triste à dire, mais j'ai moins de mauvaises surprises quand j'achète un bouquin américain. Eux priment encore les bonnes histoires (même s'ils pratiquent aussi le coup des marques à satiété !) Mais au moins ça bouge.
Les auteurs espagnols, indiens, etc. Que des aventures.
Les belges aussi (hahahahahaha !)
Mais les auteurs français sont sérieusement nombrilistes. Sauf vous. Mais c'est sans doute pour cela que les grandes maisons ne vous (ni moi pareil !) prennent pas : de jolies histoires c'est trop simple pour les Majors de l'Edition.

Là je fais de la pub pour un bon livre. D'ailleurs il est dans les meilleures ventes de l'éditeur. hahahaha !

http://www.edilivre.com/doc/meilleures_ventes

Allez, je suis contente. je viens de lire "petits crimes conjugaux" de Eric-Emmanuel Schmitt. Un auteur... belge (et oui on peut le dire à présent !)
Au début j'étais déroutée car je m'attendais à un roman mais c'est une pièce de théâtre avec seulement deux personnages. un "combat" d'amour dans un vieux couple.
Bon, il n'est pas utile que je raconte le contenu, mais je dirai simplement que c'est très bien écrit et que les réflexions sont très censées. J'en citerai une dans mon prochain livre. En citant l'auteur évidemment.
Mais c'est un petit livre format poche (alors que c'est un Albin Michel. 10 euros (prix 2003) pour 117 pages avec plein de blanc en prime et gratis. Si je devais conter les signes je pourrais dire que c'est une nouvelle.
Mais bon. Je ne boude pas mon plaisir.
Ce fut cours, bref mais délicieux. héhéhé.

J'aime beaucoup cet écrivain, le lire est un réel plaisir...

Il pleut sans arrêt ici et je lis, je lis.
J'ai fini "Médecin malgré moi" de Patrick de Funès,
"Toute nue" le livre d'un écrivain qui a fait le "nègre" pendant quinze ans
"Dieu cet Athée" de mon homonyme belge (génial pamphlet sur les religions)
je commence "Les yeux jaunes des crocodiles" et j'ai encore "Les demoiselles de Provence" de Patrick de Carolis, "Le Show bizz, si vous saviez?" et "Les traumatisés du trône" et j'en oublie.
Et avec tout cela j'arrive encore à écrire.
Vous allez me dire "c'est facile, tu ne dois pas travailler toi !" OK, vous avez raison.

Sinon, si vous lisez, dites quoi que vos lectures puissent éventuellement inspirer les autres !

Bon, en plus de continuer l'élaboration de mon nuoveau roman (une saga familiale de femmes) je lis. Je suis déjà bien avancée dans "les yeux jaunes des crocodiles".
J'étais fan de Katherine Pancol dans ses premiers écrits puis j'avais abandonné car elle était un peu répétitive (souvent le même shéma) mais ici avec les yeux je me régale !
Non seulement c'est une histoire avec plein de personnes qu'on arrive à suivre (pas toujours le cas), mais ce sont des affaires de familles, des histoires de femmes, une écriture tantôt fluide tantôt hilarante, plusieurs formes de "langages" dans la narration, bref, les filles lisez ce livre qui mérite son succès de foules. Bon j'ai pas fini car il est très gros le bouquin !
Allez, Bloulou, tu peux acheter !

Merci pour ton avis Chantal :-)

je n'aime pas le titre, explique chantal.

Pfttt jusqu'ici j'ai pas encore compris. A part que le père élève des crocodiles en afriques et qu'ils ont les yeux jaunes mais je ne vois pas à quoi correspond le titre. Je verrai à la fin. Mauvais choix de titre et vilaine couverture, mais quand on passe au-dessus on découvre un chouette livre avec plusieurs styles d'écritures dedans. C'est très chouette. Les personnages parlent différemment els uns des autres, comme dans la vie et souvent les auteurs font parler tous leurs personnage de la même façon avec les mêmes expressions. C'est un tord. Bref, je pense que je vais acheter le suivant, tortues quelque chose...